Il s’agit d’une réaction de cette ancienne rébellion ayant à sa tête le vice-président congolais en charge de l’économie et des finances, Jean-Pierre Bemba, à la déclaration du chef de l’Etat congolais, Joseph Kabila, sur la fin du partage équilibré du pouvoir entre les composantes de la Transition, lors de la cérémonie de promulgation de la nouvelle Constitution samedi dernier.
M. Mwamba a expliqué que les dispositions des articles 222 et 228 de la nouvelle Constitution "régissent l’exercice du pouvoir par le président de la République et le gouvernement élus". Il a appelé les principaux collaborateurs du président Kabila à ne pas induire son discours en erreur.
M. Mwamba a aussi recommandé la promulgation imminente des décrets se trouvant sur la table du chef de l’Etat et portant sur la poursuite du partage du pouvoir dans l’Agence nationale de renseignement, la Direction générale de migration, la Banque centrale, les régies financières et autres entreprises publiques.
Source :XINHUANET